Ce soir, il y a un grand meeting anti-Seznec pour défendre la culpabilité avec obligation d'être dans la ligne du parti. Peut-être vont-ils exiger la tête de Guillaume Seznec ? Denis Seznec n'a pas été invité. Je pense que Denis Langlois a refusé d'apporter sa caution à ce meeting.
Depuis 2013, l'Ouest-France a fait une campagne anti-Seznec disproportionnée avec les enjeux et surtout contre l'avis indisposé de ses lecteurs. La culpabilité de Seznec est basée sur le livre de Michel Pierre. J'ai expliqué sur ce blog, les nombreuses lacunes, insuffisances et erreurs de la thèse de Michel Pierre. Il refuse tout débat avec moi car il sait très bien que mes recherches sont beaucoup plus avancées, pointues et sérieuses. Il reste tétanisé à l'idée que je lui apporte la contradiction. Pourtant, chaque fois que Michel m'adresse un courriel, je réponds. Mais, je l'ai trouvé assez facilement irritable ces derniers temps.
En conséquence, vous n'aurez pas l'honneur de ma présence. Je ne pourrai donc pas expliquer au public comment j'ai réussi à prouver l'innocence de Seznec dans les archives du fonds Hoover conservées à l'université de Stanford en Californie, dans des documents déclassifiés du FBI et dans d'autres sources en dehors des archives des ministères. Vous n'aurez droit qu'à du radotage soporifique sur les petits tracteurs rouges de Michel Pierre.
2 commentaires:
Bonjour, je découvre votre site. Je suis plutôt partisan de l'innocence de G Seznec. Cependant, je trouve vos propos sur les opposants à votre version des faits, sont très virulents, et teintés d'une opinion politique que je désapprouve. D'ailleurs après lu plusieurs de vos article (et parfois de l'agressivité de ceux ci) j'en viens à douter de mon sentiment dans cette affaire.
C'est plutôt moi qui suis l'opposant à une campagne médiatique utilisant des moyens considérables avec une chaine du service public et le plus grand groupe de presse Breton. Cette campagne est basée sur des faits inexacts. Avec mon modeste blog, j'essaye de faire entendre une autre vérité. France 3 nous a interdit le droit de nous exprimer. Il ne faut donc pas renverser les rôles.
Concernant les opinions politiques que vous désapprouvez, je ne vois pas de quoi vous parlez.
Vous avez le sentiment que vous voulez sur cette affaire. Je continuerai à faire entendre une autre version.
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