Le parti communiste français voit le jour en décembre 1920 d'une scission avec la SFIO. Il s'appelle à ses débuts, la SFIC (Section Française de l'Internationale Communiste). Cette dernière est pilotée depuis Moscou par le Comintern aussi appelé la 3eme internationale.
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Je profite d'un moment de calme et d'une nouvelle coupure d'électricité pour émettre l'idée de mutualiser nos recherches et la consultation d'archives.
Seznek n'apporte aucun argument pour étayer ses dires. Son billet relève du domaine de la liberté d'opinion, sans plus.
Je ne vais pas reprendre tous les éléments qui se trouvent dans mon livre mais nous avons la certitude que Turrou a bien débarqué à Cherbourg lors de son voyage aller et que la France était le but du voyage.
Certains parlent de membres de la famille de Quéméneur, d'autres d'un magistrat à la cour de Cassation, Olivier Talabardon qui serait aussi membre de la famille...
Je vais à nouveau écrire sans mes notes une synthèse rapide du marché de l'automobile en Russie Soviétique vers 1923. Il est toujours essentiel de comprendre le contexte sinon on tombe facilement dans l'anachronisme et l'on commet des erreurs d'interprétation. Pour plus de détails, voir mon livre notamment le chapitre 8 "Affaire Seznec : Les archives du FBI ont parlé" éditions MonsieurBrocanteur.
...car nous sommes plongés dans le noir sans électricité depuis 3 jours. Concernant l'historien du dimanche, j'avais bien compris. Ce qui ne m'empêche pas d'affirmer que je ne suis ni historien, ni du dimanche.
Langellier met un point final sur ses activités de rédactrice en chef de son blog perso sur l'affaire Seznec :
Voilà, j'en ai terminé avec Marc Duriez. En conclusion, il ne reste plus grand chose de ses arguments. Certains sont mensongers, d'autres sont sortis de leur contexte. Le colonel Turrou et l'affaire de Cadillac reposent sur des éléments très solides. Contrairement à Michel Pierre, au moins Marc Duriez a essayé de fournir des éléments qu'il pense être pertinents.
Voici le 7eme article sur l'affaire des diamants. Cette affaire montre que Turrou est capable d'élaborer des arnaques. Marc Duriez pense que Turrou est une victime. Je vais lui prouver le contraire.
Des 5 premiers articles, il ne reste plus grand chose des arguments développés par Marc Duriez. Nous voici arrivé au 6eme article :
https://affaire-quemener-seznec.blogspot.com/2020/03/26.html
Il n'y a actuellement plus d'électricité dans le Finistère. J'ai mis en route un générateur de secours. Un sapin est tombé à 1 m de notre habitation. Le chemin d'accès était bloqué par plusieurs arbres qu'il m'a fallu tronçonner. J'ai pu sortir, c'est actuellement la désolation.
2eme jour sans électricité, ni téléphone. L'internet fonctionne sur générateur.
Nous en sommes au 5e article de Marc Duriez concernant mon livre : Affaire Seznec : Les archives du FBI ont parlé. Il s'agit d'une enquête historico-policière sur l'affaire Seznec. J'ai repris les investigations que la police et la justice de l'époque n'ont pas faites. J'ai découvert un certain nombre de nouveaux éléments. La police et la justice avaient indiqué que l'Américain Charly était le produit de l'imagination de Seznec et qu'il n'y avait jamais eu d'affaire de Cadillac vers la Russie des Soviets. Marc Duriez dispose d'un blog sur l'affaire Seznec qui est de bonne qualité. Il tente de démonter mon argumentation. Il est toutefois systématiquement hostile et n'hésite pas à utiliser des procédés louches voire carrément mensonger comme par exemple sa tentative pour démontrer que 4h00 sont nécessaire pour débarquer les passagers des transatlantiques à Cherbourg.
Voici le 4eme article sur les 8. J'ai éliminé ce qui n'était pas très pertinent pour ne garder que les quelques idées intéressantes.
https://affaire-quemener-seznec.blogspot.com/2020/03/10.html
Selon Marc Duriez : "Le nom de Leon Turrou apparaît au retour à New York, mais nous ne possédons pas encore la liste des voyageurs à l’aller. La troisième phrase étant censée prouver la seconde est en réalité sans rapport avec elle. Pour l’instant, nous ignorons totalement si Turrou était en France au moment de la disparition de Pierre Quéméner. Qu’il ait embarqué à Cherbourg pour New York le 7 juillet 1923 ne nous indique pas la date de son arrivée en Europe, ni par quel moyen il a voyagé."
