Dans un précédent article, je démontrais qu'il n'y avait aucun problème en 1923, pour un voyageur débarquant du Berengaria à 16h00 de contacter n'importe qui en France avant 20h00, soit par télégramme, soit par téléphone. En complément, le R.M.S. Berengaria disposait d'un service de radiotélégrammes. Les passagers pouvaient envoyer des télégrammes depuis le bateau, en mer, vers la terre. Il y a avait aussi des téléphones publics à bord utilisables pendant les escales. Les passagers avaient aussi la possibilité de réserver une place pour la liaison Cherbourg-Paris en aéroplane.
RMS Berengaria 1923
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