mardi 30 mai 2023

L'interview Ouest-France d'une fausse journaliste à L'Express

blogueuse liliane langellier affaire seznec


Ouest-France a publié une fausse interview de Denis Seznec (voir mon précédent billet). Maintenant, le journal publie une vraie interview d'une fausse journaliste à L'Express. Sous la plume de Sarah Humbert, nous apprenons en parlant de la blogueuse Liliane Langellier : "Depuis plus de 30 ans, celle qui était journaliste à L'Express, avant de venir vivre en Eure et Loir enquête sur cette affaire..."

Madame Langellier a travaillé au groupe L'Express dans des postes subalternes mais pas comme journaliste et pas au magazine. Elle a probablement suivi un cursus pour devenir journaliste. Elle a été remerciée du groupe L'Express sans avoir jamais rien publié et où on ne trouve nulle part le moindre écrit avec sa signature. L'Express a indiqué ne pas apprécier que cette personne se serve abusivement du nom du journal pour sa promotion personnelle.

Cette blogueuse s'attribue aussi des diplômes fictifs comme celui d'UCLA (Université de Californie Los Angeles). En réalité, elle a suivi un stage d'été payant à UCLA et elle a reçu un certificat de fin de stage. Nous sommes très loin du diplôme qu'elle affiche sans vergogne.

Enfin, comment peut-on sérieusement écrire que l'affaire Seznec puisse porter bonheur à quelqu'un ? Cette affaire n'a apporté que du malheur. Mme Langellier annonce toutefois avoir fait une découverte. Elle a réussi à compter ce que Seznec et Quémeneur avaient bu pendant le trajet vers Paris. Elle a été jusqu'à Houdan pour ça. Comment le journal Ouest-France peut-il écrire de telles âneries qui ne reposent que sur les délires d'une blogueuse ?

Mme Langellier n'est pas fiable. Elle est capable de tous les excès même les plus sordides (harcèlement, injures publiques, diffamation, haine raciale et religieuse, violation des droits d'auteur et du RGPD). Elle ne comprend toujours pas que les photos et textes écrits par d'autres sont soumis à des droits d'auteur. L'explication du comportement erratique de cette personne est qu'elle a un passé judiciaire chargé. Elle a été mise en examen pour des faits de violence avec arme. Elle a bénéficié d'une ordonnance de non-lieu pour irresponsabilité pénale car elle souffre de troubles psychiatriques. Elle a été remise en liberté après un mois d'enfermement. Depuis, elle importune tout le monde et on ne sait comment s'en débarrasser. 

Mme Langellier est incapable de faire la distinction entre la réalité et son imaginaire. Elle fait de la confusion mentale entre les deux. Ouest-France et la journaliste Sarah Humbert se sont ridiculisés en reprenant sans aucun discernement et sans aucune recherche les propos de cette blogueuse. Pourtant de nombreux éléments auraient dû alerter un journaliste sérieux comme l'agressivité et la violence du discours qui tourne en bloucle, l'absence totale d'argumentation avec des propos absurdes et délirants, les attaques personnelles et l'appropriation du travail d'autrui. Le journalisme est un métier, il y a les bons et les mauvais. Ouest-France est plutôt à placer dans la deuxième catégorie. Pour avoir été sollicité par ce journal, je me suis rendu compte qu'ils n'avaient aucune éthique, capables de toutes les malhonnêtetés, un peu à l'image de médiapart.

Autre article dans l'Echo Républicain avec une intéressante interview du procureur Rémi Coutin.

 

Dans un article du Midi-Libre, Yanick Philipponnat attribue mon livre "Affaire Seznec : Les archives du FBI ont parlé" à la blogueuse Liliane Langellier.

Erreur judiciaire du siècle ou coupable de meurtre : 100 ans après, comprendre la toujours mystérieuse affaire Seznec

Et depuis également, les hypothèses le dédouanant sont allées bon train. La première : la femme de Guillaume Seznec serait la meurtrière à cause d'une agression sexuelle du conseiller général. Il est aussi question d'un possible coup de malfaiteurs américains qui auraient pu piéger l'homme d'affaires désireux de réaliser des ventes de voiture vers l'Union soviétique selon le mis en cause. Une hypothèse évoquée dans le passionnant blog de Liliane Langellier qui recense près de 1000 articles sur l'affaire.

Yanick Philipponat, probablement abusé par des propose malveillants a bien voulu rectifier son texte :

Et depuis également, les hypothèses le dédouanant sont allées bon train. La première : la femme de Guillaume Seznec serait la meurtrière à cause d'une agression sexuelle du conseiller général. Il est aussi question d'un possible coup de malfaiteurs américains qui auraient pu piéger l'homme d'affaires désireux de réaliser des ventes de voiture vers l'Union soviétique selon le mis en cause. Une théorie évoquée dans l'Affaire Seznec : Les archives du FBI ont parlé" le livre de Bertrand Vilain. Une hypothèse également citée dans le passionnant blog de Liliane Langellier qui recense près de 1000 articles sur l'affaire.

D'autres articles sur Langellier Langelliar :

https://www.affaire-seznec.com/2023/05/linterview-ouest-france-dune-fausse.html

https://www.affaire-seznec.com/2023/10/le-charlatanisme-de-mme-langellier-de.html

https://www.affaire-seznec.com/2023/10/le-charlatanisme-de-mme-langellier-2-la.html

https://www.affaire-seznec.com/2023/10/le-charlatanisme-de-mme-langellier-3.html

https://www.affaire-seznec.com/2023/10/le-charlatanisme-de-mme-langellier.html




 





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