Au moyen-âge, le vilain, du latin Villa, est un petit paysan propriétaire de sa terre. Le seigneur, du latin nobliau, l'a affranchi et en a fait un homme libre.
Dans l'affaire Seznec, il y a aussi la grand-mère Langellier, vieille mytho qui trafique l'Affaire comme elle trafique son CV et qui n'en finit pas de mentir et qu'on n'écoute même pas. Il y a des gros doutes qu'elle ait même un diplôme de journalisme. Par contre, elle a glandouillé quelques années à la fac de Nanterre en 1968. Diplômée de Nanterre en 68, c'est comme être diplômée de UCLA après avoir suivi un stage d'été pour gosses de riche. Ensuite, pour les gamins de la petite bourgeoisie commerçante qui peinent dans un cursus classique, il y a des boîtes privées comme l'Ecole des Attachés de Direction.
Justement, Langellier a travaillé à
L'Express comme attachée de direction où sa plus grande gloire a
été l'organisation d'un déplacement au Japon. C'est compliqué, il faut réserver les billets, trouver un hôtel. A cette époque, il n'y avait pas d'internet, juste les gros téléphones en bakélite. Puis, elle aurait, selon ses dires,
suivi un cursus en cours du soir au Centre De Formation Et De
Perfectionnement Des Journalistes (Cfpj). On ne sait pas quel diplôme
elle aurait obtenu. En tout cas, cela ne lui a pas porté chance car elle a été licenciée du groupe
L'Express avant même d'avoir pu écrire une ligne. Imaginez à quoi nous avons échappé. Du coup, elle a trouvé un peu glorieux job de pigiste indépendant à la République du
Centre. Langellier décrit ce métier comme :" Elle est pigiste, oui, à son compte. Ce qui n'est guère facile, je le reconnais, car il faut batailler pour gagner sa croûte". Après avoir bataillé en mai 1968, Langellier découvre la vie, il faut bosser pour manger surtout quand Maman et papa ne sont plus là.
Ca vote quand même à gauche, enfin celle des bobos, pas par conviction, Langellier n'a pas d'idée, elle pense rien, c'est juste par conformisme "de classe", pour essayer de se faire accepter d'un monde qui n'est pas le tien, celui du "journalisme, de l'édition et du cénacle des intellectuels parisiens". Sauf que c'est pas avec ses blogs merdiques remplis de copiés/collés qu'elle va atteindre le pinacle du cénacle. Alors, dans son deux pièces cuisine vétuste, elle crève de jalousie, envers ceux qui ont mieux réussi qu'elle, la psy, le nobliau, le vilain...
Je suis chef d'entreprise, j'ai quand même trouvé le temps d'organiser des fouilles à Morlaix, de faire des recherches et d'écrire un bouquin où j'explique l'affaire Seznec de mon point de vu mais en prouvant la totalité de mes affirmations. Pour moi, c'est juste un loisir, une passion pour me détendre. Langellier professionnelle autoproclamée de l'écriture ne m'arrive pas à la cheville sur son propre terrain, incapable d'écrire un livre et de publier quoique ce soit de personnel. Sans talent, elle ne peut faire que correctrice de typos de mes écritures. Imaginez Langellier sur mon terrain dans l'entreprenariat lié à l'histoire des arts, de la culture, du design, du raffinement et des objets anciens. Le bon goût de Langellier où dans sa cuisine, elle a troqué les posters de Betty Boop pour ceux de la femme aux gros sourcils, une pote à Trotsky.
Bon, j'arrête là. Je dois passer à la salle des ventes récupérer quelques objets. Je dois aussi m'occuper d'une autre entreprise que j'envisage de racheter.
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