dimanche 29 octobre 2023

Commentaire de l'article 1/8 de Marc Duriez du 2 mars 2020 : LE LIVRE NON-ÉVÉNEMENT

Langellier est incapable d'argumenter, prouver.  Elle est une copieuse/colleuse indigeste faisant du spam. Elle est toxique et elle a créé un climat malsain autour de l'affaire Seznec. Comme elle n'a pas les capacités intellectuelles pour réfuter un argument, elle répond par des insultes non seulement envers son contradicteur mais aussi sa femme, ses enfants, sans aucune limite. Langellier qui aurait tellement voulu être une journaliste à L'Express...

Elle utilise aussi le blogueur Marc Duriez comme une bouée de sauvetage. Elle l'appelle à la rescousse dans son article de blog "Le charlatanisme de Bertrand Vilain et de son Leon Turrou épinglé par les blogueurs du Ryez et Seznek..."

Le blog du sieur Seznek n'existe plus et il renvoie une erreur fatale, je n'apporterai donc pas de réponse car il n'est plus possible de vérifier ses dires. Par contre les articles de Marc Duriez sont toujours visibles. Il a écrit une série de 8 articles sur mon livre : Affaire Seznec : Les archives du FBI ont parlé. Même si ces 8 articles sont systématiquement hostiles, je vais essayer d'apporter une réponse à l'argumentation du blogueur avec un peu de recul et en laissant de coté les polémiques inutiles.

 1er article LE LIVRE NON-ÉVÉNEMENT du 2 mars 2020


Selon Marc Duriez sur son blog : "La parution du livre a permis de constater immédiatement que la «  démonstration implacable  » annoncée avec force tambours et trompettes ne s’y trouvait pas. C’est, au mieux, une piste intéressante qu’il convient d’examiner. L’auteur, cependant, refuse toute critique de son chef-d’œuvre. Il est sûr de son fait et n’a pas trouvé d’élément contredisant sa thèse."

"Sur la forme, cet ouvrage est très mauvais et n’aurait jamais dû voir le jour si rapidement et dans ces conditions."

"L’auteur ne mentionne pratiquement jamais ses sources"

L'article est publié le 2 mars 2020. Cette date pose un problème car le livre n'était pas encore sorti comme le prouve le bon de commande de l'imprimeur. Le 4 mars 2020, le livre était toujours en cours de livraison (la date "Livré" du 04/10/2021 correspond à une date ultérieure de réimpression). Il est étrange que Marc Duriez écrive une critique d'un livre qu'il n'a pas pu lire. D'ailleurs, il ne fait référence à aucune information. C'est pourtant le b-a ba de toute critique, quelle édition ? quel format ? Quelle date de publication ?

En réalité, à cette date, une préversion Kindle avait été mise en ligne sur le site Amazon. Suite à de nombreux problèmes de formatage et du blocage du compte par Amazon, nous n'avons pas continué l'expérience. Il est toutefois vrai qu'il y avait des typos qui ont été corrigées. Des erreurs de forme sur une version électronique d'un texte se corrigent assez facilement. A ce stade, Marc Duriez fait monter la mayonnaise sur la forme à défaut de trouver des arguments sur le fond.

Concernant les sources, en effet, j'ai évité les notes de bas de page. Il ne s'agit pas d'un livre d'histoire mais une enquête historico-policière. Il y a de nombreux extraits d'archives et les références sont en fin d'ouvrage. Pour un ouvrage qui ce veut de référence, j'admets que j'aurais dû faciliter le travail du lecteur.


A suivre...

En réponse à cet article, Langellier publie à nouveau le même article. Faut-il lui rappeler que si elle ambitionne de devenir un jour journaliste peut-être à L'Express (on a le droit de rêver), il faut éviter bien sûr les copiés/collés des autres mais aussi de soi-même. Langellier a toutefois ajouté un autre copié/collé, admettant que Leon Turrou serait un peu menteur (comme le brocanteur). Il y a du progrès depuis le temps où elle écrivait : "Affaire Seznec : Diffamations sur le Lieutenant-Colonel Turrou de l'armée américaine".

Langellier ne comprend rien au droit en général et au droit de l'information en particulier qui s'applique aux journalistes et à ceux qui publient. La diffamation, c'est pour les vivants. Pour les morts, c'est éventuellement une atteinte au respect dû aux morts. En France, le code pénal ne condamne pas la diffamation envers les morts.

Pour terminer, Langellier corrige bénévolement mes typos et je la remercie. Skeptikos a décidé de corriger bénévolement les fautes d'orthographe de Langellier. Il ne faut pas confondre le "a" du verbe avoir avec la préposition "à". Le chemin vers le journalisme à L'Express est loin, très loin, inaccessible mais Langellier est une petite fourmi laborieuse...




3 commentaires:

Skeptikos a dit…

Ce n'est pas un problème de savoir orthographique, non. Mais un problème de vue : en effet, sur un clavier , le "A" est à l'opposé du "à". Donc, ou elle est affecté d'un fort strabisme divergeant, ce qui n'apparait pas sur la dernière photo que nous avons d'elle, ou la vue lui est troublée par une massive absortion de son gros-rouge habituel, vous savez du Préfontaine, c'est le meilleur. Mais je me trompe, elle n'est pas bretonne, cette hypothèse ne tient pas debout, voyons. Que reste-t-il ? On pourait demander à la psy, vous savez celle qui parle dans on ne sait quelle langue.

:-) :-)

C.J a dit…

La psy a fêté aujourd'hui deux anniversaires au calva et ne peut pas vous éclairer !!!!

C.J a dit…

Bon, c'était au champagne, pas au calva. Calva c'était pour faire normand...p'tetre ben que oui, p'tetre ben que non...En matière d'orthographe je suis très souvent fautive alors je rase les murs. En fait le coupable c'est mon smartphone et son écran tactile qui n'en fait qu'à sa tête ! Toujours obligée de le surveiller.