La révision peut être demandée lorsqu'une personne est condamnée et qu'un fait nouveau apparaît ou qu'un élément inconnu au jour du procès est découvert après la condamnation. Ces faits ou éléments nouveaux doivent être susceptibles d'établir l'innocence du condamné ou de faire naître un doute sur sa culpabilité. Selon les termes de l'avocat de Denis Le Her-Seznec, Maître Jean-Yves Le Borgne, il faut prouver que Seznec n'a pas tué Quéméneur.
L'exercice est donc difficile puisque la justice n'a pas été capable de prouver que Seznec avait tué lors du procès de 1924. Il n'est donc même pas possible de démonter une argumentation inexistante. L'année dernière, France 3 a financé un documentaire de propagande anti-Seznec uniquement à charge. 100 après, il n'y avait toujours pas le moindre élément prouvant que Seznec avait tué. Il faut se rendre à l'évidence et admettre que Seznec est bien innocent.
La révision du procès Seznec est toujours d’actualité en 2025. L’argumentaire historique basé sur des faits nouveaux demande du temps, puisque chaque élément avancé doit être étayé par un raisonnement logique et scientifique, s’appuyant sur des archives françaises, anglaises, américaines et russes.
La prochaine — et ultime — demande en révision portera essentiellement sur les points suivants :